Category: Collège Sévigné (Paris 14e)

36-45 ans, Collège Sévigné (Paris 14e), Décédé ou présumé décédé (à titre posthume), Enseignement secondaire (lycées et collèges), Femme, Forces françaises de l'intérieur (FFI), Fusillé, Professeur/professeure de collège, Recueil de renseignement

WUILLEUMIER Marie-Hélène

ÉTAT-CIVIL

  • Date de naissance : 17/08/1907
  • Ville de naissance : Paris
  • Département de naissance : Seine

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative : Professeur
  • Etablissement : Collège Sévigné
  • Ville : Paris

DISTINCTION 

  • Proposé pour : Médaille de la Résistance
  • Grade : Simple
  • Vivant/décédé : Décédé (à titre posthume)
  • SI décoré, date du décret : 24/04/1946

FAITS DE RÉSISTANCE

  • Alias :
  • Famille dans la Résistance : Forces françaises de l’intérieur (FFI)
  • Mouvement/réseau : Répertorié mais non renseigné
  • Statut : Répertorié mais non renseigné

Texte de la citation :

Professeur de lettres, s’est donnée avec passion aux missions périlleuses de la Résistance clandestine parisienne. Rejoint un maquis du Doubs en mai 1944, en assure le ravitaillement et le service de renseignements stimule par son action personnelle la Résistance de la population. Le 13 juillet 1944, lors d’une attaque par surprise de l’ennemi, a été tuée d’une balle en pleine poitrine, assurant par son sacrifice la retraite et le salut de ses camarades de combat.

Rapport justificatif :

A abrité de janvier à mai 1944 un chef de maquis-école du MDL qui, arrêté par la Gestapo avait réussi à s’échapper. A exécuté pendant cette période de nombreuses missions dans Paris : rendez-vous, liaisons, rédaction, impression et distriution de tracts clandestins. Envoyée en reconnaissance dans le département du Doubs, a trouvé les emplacements appropriés à l’installation du Maquis-Ecole. Pendant deux mois, a assuré le ravitaillement du groupement, organisé le service de renseignements, affecté des liaisons et des transports d’armes, stimulé par son action personnelle la Résistance de la Population.

Le 13 juillet 1944, lors d’une attaque par surprise de l’ennemi, a été tuée d’une balle en pleine poitrine, dans les bas de la Planée, assurant par son sacrifice la retraite et le salut de ses camarades de combat.

SOURCES

16-25 ans, Aide aux réfractaires du STO, Collège Sévigné (Paris 14e), Décédé, Décédé ou présumé décédé (à titre posthume), Forces françaises de l'intérieur (FFI), Homme, MOUVEMENT/RÉSEAU, ORIGINE SCOLAIRE, STATUT DANS L'ÉDUCATION NATIONALE

WECZERKA Pierre, François

ÉTAT-CIVIL

  • Date de naissance : 17/03/1920
  • Ville de naissance : Paris 14e
  • Département de naissance : Seine

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative : Ex-instituteur
  • Etablissement : NR
  • Ville : Chelles

DISTINCTION 

  • Proposé pour : Médaille de la Résistance
  • Grade : Simple
  • Vivant/décédé : Décédé (à titre posthume)
  • SI décoré, date du décret : 20/11/1946

FAITS DE RÉSISTANCE

  • Alias : Leblond, Renaud
  • Famille dans la Résistance : forces françaises de l’intérieur (FFI)
  • Mouvement/réseau : NR
  • Statut :  interné résistant

Texte de la citation :

Réfractaire au Service du travail obligatoire (STO) à rejoindre un paquis des Pyrénées avec lequel il a pris part à des opération diverses revenue dans la région parisienne en 1944 a rejoint le maquis de Dourdan puis le groupe franc de Chelles aux coups de mains duquel il a participé. Pris le 16 août 1944 au cours d’une mission a été fusillé le jour même.

Rapport justificatif :

Réfractaire au Service du travail obligatoire (STO) en juillet 1943 s’est réfugié dans les Hautes-Pyrénées dans la famille de M. Garaud d’où il a rejoin un maquis de la régions Pseudo : Leblond.

Revenu dans la régions parisienne en Mars 1944 a rejoin au début de juin 1944 le maquis Dourdan, lequel a dû se dispersé par la suite d’une trahison. Pseudo : Renaud.

A fait partie depuis ce moment du groupe franc de Chelles et participé a différente opérations contre l’occupant. Pris le 16 août 1944 au cours d’une missions a été fusillé le jours même au bois de Boulogne.

SOURCES