MARCHAIS Lucien

ÉTAT-CIVIL

  • Date de naissance : 28/07/1913
  • Ville de naissance : Neuilly
  • Département de naissance : Seine

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative :Instituteur
  • Etablissement : Ecole primaire, 41 avenue de Verdun
  • Ville : Issy les Moulineaux

DISTINCTION 

  • Proposé pour : Médaille de la Résistance
  • Grade : Simple
  • Vivant/décédé : Vivant
  • SI décoré, date du décret : 24/04/1946

FAITS DE RÉSISTANCE

  • Alias : NR
  • Famille dans la Résistance : forces françaises de l’intérieur (FFI)
  • Mouvement/réseau : NR
  • Statut :  interné résistant

Texte de la citation :

En toutes circonstances s’est courageusement opposé à la politique et aux mots d’ordre de Vichy, sans souci des risques professionnels et personnels que cela pouvait entraîner. Dès 1943, a organisé un centre important de renseignements pour les Forces françaises libres (FFL), a organisé des groupes locaux de Résistance et des terrains d’atterissage. Agent de liaison avec la Savoie, a dû passer en Suisse où il a été interné.

Rapport justificatif :

Démobilisé le 31 août 1940 et rentré à Paris, vers le 10 septembre 1940 a été nommé instituteur à l’école Anatole-France, 43 avenue de Verdun à Issy-les-Moulineaux. Dès son arrivée à l’école, il prend position et se fait remarquer par une opposition systématique à tout ce qui de près ou de loin « sent Vichy ».

Avec un de ses collègues, M. Tonneau, il commence la propagande qui ralliera peu à peu tous ses collègues à l’idéal que proposait alors le général de Gaulle. Dans sa classe, où aucune photo, aucun discours, aucun ordre de Vichy, n’a eu la moindre place. Dans l’école, au conseil des maîtres, il pose cette question : « Qui a signé ce papier, cette instruction ? » – Monsieur X… – Nommé par Vichy ?… Connais pas. Maison Pétain, Laval, et Cie – Connais pas. Cette dernière phrase deviendra un leitmotiv, qui servira de réponse, chaque fois qu’il lui sera demandé de collaborer, de près ou de loin. Les nouvelles de BBC sont diffusés. Les consignes (1er janvier – 14 Juillet – 11 novembre) sont scrupuleusement appliquées. Les campagnes de récupération ne donnent aucun résultat.

L’entraide directe est pratiquée : collecte pour l’envoi de colis aux prisonniers politiques. Les leçons sont faites dans l’esprit des Instructions en vigueur avant juin 1940. Les instructions parues après sont systématiquement ignorées lorsqu’elles doivent nuire à l’école. Les enfants eux-mêmes apportent leur concours : d’une manière toujours anonyme : ramassage de tracts déposés sur le bureau de M. Marchais avant son arrivée – fourniture de pièces détachées, radio, etc… Inscription dans un angle du tableau noir, du Nième… Jour de la lutte du peuple français pour la Libération. Puis arriva la phase active : Aide aux réfractaires, mise à l’abri de tous ceux qui sont menacés de déportation : collègues, parents d’élèves.

Organisation d’un réseau avec un camarade de guerre : M. Jacques Santu. Renseignements de tous genres – Exécution d’une espionne – Organisation de terrains de parachutages et d’atterrissage – Organisation de groupes locaux de Résistance, qui seront à la base du grand soulèvement national. Passage à l’armée De Gaulle de volontaires – Organisation d’un service « Récupération et transit » des évadés de guerre et aviateurs alliés – liaisons de tous genres – Prise de contact avec l’organisation de Savoir.

En novembre 1943, le réseau est découvert. Santu échappe de justesse – Mme Santu aussi. M. Marchais reçoit l’ordre de transmettre à tout prix un compte-rendu à Londres via Genève. Au cours de cette mission, repéré et pris en chasse, dès la ligne de démarcation, il gagne néanmoins Annecy, fait parvenir son message, puis se rend à Genève pour faire un compte-rendu au consulat anglais. Repéré à nouveau, il passe la frontière, non sans échapper de justesse, aux soldats de patrouilles allemandes.

A Genève, ne pouvant retourner en France pour l’instant, il voit un certain nombre de Français et essaie de venir en aide au maquis savoyard. Puis il fut interné, dénoncé par des collaborateurs hollandais, comme ayant une activité contraire à la neutralité suisse. (Organisation d’un service de dépistage des Vichyssois – de renseignements et d’aide aux groupes en difficultés en France. Il est envoyé au camp de Nussbaumer, sans conteste celui qui avait la plus mauvaise renommée. Il rentre enfin en France, fin août 1944, vient prendre des ordres à Paris et est mobilisé à l’EMGG où il est actuellement .

SOURCES

ESTEVA Jean, Georges, Auguste

ÉTAT-CIVIL

· Date de naissance : 03/03/1918

· Ville de naissance : NR

· Département de naissance : NR

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

· Situation administrative :

· Situation administrative : Secrétaire du Commissariat au Travail des Jeunes

· Etablissement : Commissariat régional au travail des jeunes

· Ville : Reims, Marne

DISTINCTION

· Proposé pour : Médaille de la Résistance

· Grade : Simple

· Vivant/décédé : Vivant

· SI décoré, date du décret : 29/11/1946

FAITS DE RÉSISTANCE

· Alias : NR

· Famille dans la Résistance : déportés et internés de la résistance (DIR), forces françaises de l’intérieur (FFI)

· Mouvement/réseau : NR

· Statut : NR

Texte de la citation :

A payé son activité dans la Résistance de la déportation.

Rapport justificatif :

S’est occupé sous les ordres de M. Goguel, de toutes les questions de transmission de renseignements et plans (aérodromes de Courcy, poste de Reims, station Radio, etc…) arrêté le 14 décembre 1943, en même temps que M. Goguel a fait preuve, lui aussi de beaucoup de courage dans le façon de tenir tête à la Gestapo lors de ses interrogatoires. Très courageux pendant tout le temps de sa détention à la prison de Reims, il a été déporté en Allemagne en même temps que son camarade.

SOURCES

· Archives nationales, F17 16077

· Mémoire des hommes (https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/)

EISEMAN Pierre-Joseph

ÉTAT-CIVIL

· Date de naissance : 02/04/1923

· Ville de naissance : Paris

· Département de naissance : Seine

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

· Situation administrative : Elève

· Etablissement : Lycée Louis-le-Grand

· Ville : Paris 5e

DISTINCTION

· Proposé pour : Médaille de la Résistance

· Grade : Avec rosette

· Vivant/décédé : Décédé (à titre posthume)

· SI décoré, date du décret : 23/07/1965

FAITS DE RÉSISTANCE

· Alias : NR

· Famille dans la Résistance : forces françaises combattantes (FFC), déportés et internés de la résistance (DIR)

· Mouvement/réseau : CENTURIE, THERMOPYLES

· Statut : Interné résistant

Texte de la citation :

Jeune lycéen, fusillé par les Allemands, dans des conditions particulièrement odieuses, le 10 juin 1944, alors qu’avec un groupe de camarades, il tentait de rejoindre les Forces françaises de l’Intérieur (FFI).

Rapport justificatif :

Appartenait à une organisation de Résistance qui regroupait des éléments appartenant aux rétablissements scolaires parisiens. Il devait rejoindre le maquis le 9 Juin 1944. Aux environs d’Orléans, le 8 Juin, un noyau se constitua qui hébergé à la ferme du BY, relai prévu. Le groupe fut dénoncé par un traitre et surpris à l’aube du lendemain par un détachement allemand de 120 hommes. Tous les membres du groupe, élèves de lycées parisiens de 17 à 20 ans, furent fusillés dans des conditions particulièrement odieuses, le 10 Juin 1944 à la Ferté Saint-Aubin.

SOURCES

· Archives nationales, F17 16076

· Mémoire des hommes (https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/)

DUVERGE François, Gérard

ÉTAT-CIVIL

· Date de naissance : 15/06/1896

· Ville de naissance : Montesgegur

· Département de naissance : Gironde

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

· Situation administrative : Instituteur

· Etablissement : Ecole primaire

· Ville : NR

DISTINCTION

· Proposé pour : Médaille de la Résistance

· Grade : Avec rosette

· Vivant/décédé : Décédé (à titre posthume)

· SI décoré, date du décret : 10/01/1947

FAITS DE RÉSISTANCE

· Alias : Chevalier

· Mouvement/réseau : NR

· Famille dans la Résistance : déportés et internés de la résistance (DIR), forces françaises de l’intérieur (FFI)

· Statut : NR

Texte de la citation :

Militant de la Résistance dès sa première heure, a été traqué et arrêté par la Gestapo; torturé, a refusé de dire le moindre mot qui aurait pu nuire à ses compagnons; est décédé des suites des mauvais traitements subis ; exemple d’abnégation, de courage et de grandeur d’âme.

Rapport justificatif :

En 1939, il revint du front malade, mais contine a servir son pays en entrant dans la Résistance, dès les premières heures de l’oppression, en prenant la ??? et du mouvement Libération. Constamment traqué par la Gestapo, il mourut dans sa cellule apres avor été torturé, sans avoir dit un mot qui puissenuire a ses camarades de combat. L’instituteur Duvergé, dans le maquis « Cevalier » a été pour tous, un exemple d’abnégation, de courage, de grandeur d’âme et de générosité.

SOURCES

· Archives nationales, F17 16076

· Mémoire des hommes (https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/)

LAPIERRE Georges, Anatole

Source : Maitron

ÉTAT-CIVIL

  • Date de naissance :28/02/1886
  • Ville de naissance : Courtavant
  • Département de naissance : Aube

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative : Directeur d’école
  • Etablissement : Ecole primaire
  • Ville : paris

DISTINCTION 

  • Proposé pour : médaille de la Résistance
  • Grade : avec rosette
  • Vivant/décédé : Décédé (à titre posthume)
  • SI décoré, date du décret : 29/11/1946

FAITS DE RÉSISTANCE

  • Alias :NR
  • Famille dans la Résistance : forces françaises combattantes (FFC), déportés et internés de la résistance (DIR)
  • Mouvement/réseau : CND CASTILLE
  • Statut :  déporté résistant

Texte de la citation :

Instituteur animé d’un admirable esprit de civisme. Dès 1941 s’est donné entièrement à la lutte pour la ?. Utilisant la parfaite connaissance du milieu de l’enseignement primaire que lui valait son poste de sécrétaire du syndicat national des instituteurs, a commencé à constituer dans tout le pays des groupes d’information et de Résistance, les a animés de sa foi tenace et les a dressés pour la défenses de la liberté.

Arrêté par la Gestapo en mars 1943 a, dans les prisons et dans les camps, donné l’exemple d’un courage tranquille et résolu. Malgré privations et les sévices, n’a cessé de soutenir le moral de ses compagnons de captivité en leur faisant partager sa certitude de la victoire et son ardeur à travailler au relèvement de la France.

Rapport justificatif :

Directeur d’école primaire à Paris, Lapierre, qui n’a jamais voulu accepter la défaite et la collaboration, est entré en contact dès 1941 avec divers éléments de Résistance. Utilisant sa profonde connaissance des milieux instituteurs, – il était sécrétaire du syndicat national des instituteurs – et aussi les liaisons personnelles qu’il avait avec nombre de sécrétaires de syndicats départementaux, Lapierre a voulu constituer une organisation de Résistance de l’enseignement qui, par les instituteurs, s’étendrait à toute la France.

Incarcéré à Troyes, puis à Fresnes, déporté en Allemagne le 13 septembre 1943, Lapierre passa successivement aux camps de Sarrebruck Oranienbourg, Natzweiler, et Dachau, donnant par son courage tranquille, sa foi en la victoire, son civisme inébranlable, un magnifique exemple à tous les Français déportés. Malgré les brimades et les sévices, malgré la faim et le froid, il n’a cessé de penser à la reconstruction française d’après la Libération, soutenant ses compagnons, et les encouragent à travailler pour l’organisation d’une société plus juste et plus fraternelle.

Mort d’épuisement et de mauvais traitements au camp de Dachau en février 1945.

SOURCES

MORIN Jacques

ÉTAT-CIVIL

  • Date de naissance : 20/06/1924
  • Ville de naissance : NR
  • Département de naissance : NR

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative : Ex-élève
  • Etablissement :. Collège technique de Suresnes
  • Ville : Suresnes

DISTINCTION 

  • Proposé pour : médaille de la résistance
  • Vivant/décédé : vivant
  • SI décoré, date du décret : 15/10/1945

FAITS DE RÉSISTANCE

  • Alias : nr
  • Famille dans la Résistance : nr
  • Mouvement/réseau : nr
  • Statut :  nr

Texte de la citation :

Chef de secteur dans la région de Vesoul, se met à la disposition de la Résistance et organise un remarquable service de secours aux enfants et aux blessés. Tué le 14 septembre 1944 pendant les combats pour la Libération de Courchaton (Haute-Saône) alors qu’il se portait au secours de blessés graves.

Rapport justificatif :

Chef de secteur dans la région de vesoul se met à la disposition de la Résistance et organise une remarquable service de secours aux enfants et aux blessés (équipe, postes, liaison). Tué le 14 septembre 1944 pendant les combats pour la Libération de Courchaton (Haute-Saône) alors qu’il se portait au secours de blessés graves. Exceptionnel esprit de sacrifice et de sentiment du devoir.

SOURCES

MORIN Pierre

  • Date de naissance : 24/02/1901
  • Ville de naissance : Saint-Fargeau
  • Département de naissance : Yonne

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative : Instituteur
  • Etablissement : Ecole primaire Jean-Jaurès
  • Ville : Saint-Ouen

DISTINCTION 

  • Proposé pour : Médaille de la Résistance
  • Grade : Simple
  • Vivant/décédé : Vivant NR

FAITS DE RÉSISTANCE

  • Alias : NR
  • Famille dans la Résistance : NR
  • Mouvement/réseau : NR
  • Statut :  NR

Texte de la citation :

A pris une partie active à la reconstitution du Syndicat national des instituteurs qui fut un organisme actif de Résistance. S’est acquitté avec intelligence et courage des tâches qui lui furent assignées. A contribué à la formation d’un groupe de combat avec lesquel il aprit à la Libération de Saint-Ouen.

Rapport justificatif :

Depuis 1940, diffusion et distribution de tracts. Collecte en faveur de collègues frappés par les lois de Vichy ; recrutement d’adhérents au syndicat national clandestin. Fourni le moyen qui a permis à deux Alsaciens de gagner la zone sud à Clermond-Ferrand. Membre clandestin du groupe de Résistance Libération-Nord, constitution d’un groupe de Résistance (chef de groupe M. Pignochet) participation à la prise de la mairie de Saint-Ouen. Collaboré avec M. Pignochet, Maire-adjoint, à l’organisation du ravitaillement de Saint-Ouen. Etablissement et permanence d’un poste de Croix-rouge, rue de Landy, à Saint-Ouen.

SOURCES

MOUCHET René

  • Date de naissance : 6/02/1909
  • Ville de naissance : Levallois-Perret
  • Département de naissance : Seine

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative : Directeur d’école
  • Etablissement : NR
  • Ville : Directeur d’école

DISTINCTION 

  • Proposé pour : Médaille de la Résistance
  • Grade : Simple
  • Vivant/décédé : Vivant
  • SI décoré, date du décret : 10/01/1947

FAITS DE RÉSISTANCE

  • Alias : nr
  • Famille dans la Résistance : nr
  • Mouvement/réseau : nr
  • Statut :  nr

Texte de la citation :

Résistant de la première heure a fait de son domicile un refuge pour les parachutistes alliés, un centre d’émission clandestines : a aidé les réfractaires au Service du travail obligatoire (STO) et a organisé un groupe de Résistance active.

Rapport justificatif :

En 1940 a aidé à l’évasion de 3 prisonniers de guerre français. A délivré plus de 70 fausses cartes d’identité à des réfractaires au Service du travail obligatoire (STO) et a aidé à en placer plusieurs dans les fermes.

A hébergé chez lui 26 parachutistes américains. A prêté son domicile pour des émissions clandestines de radio.

SOURCES

CHALBOS Paule

ÉTAT-CIVIL

  • Date de naissance : 12/04/1917
  • Ville de naissance : NR
  • Département de naissance : NR

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative : Institutrice
  • Etablissement : NR
  • Ville : Viry-Chatillon

DISTINCTION 

  • Proposé pour : Médaille de la Résistance
  • Grade : Simple
  • Vivant/décédé : Vivant
  • SI décoré, date du décret : NR

FAITS DE RÉSISTANCE

  • Alias : NR
  • Famille dans la Résistance : NR
  • Mouvement/réseau : NR
  • Statut :  NR

Texte de la citation :

Jeune résistante, s’est consacrée à l’organisation et à l’action à la Résistance pendant l’occupation, a fourni des renseignements aux troupes alliés. Exemple de courage et de dévouement.

Rapport justificatif :

A participé activement à l’organisation et à l’action de la Résistance sous la direction de M. Moreau, inspecteur de l’enseignement primaire, déporté en Allemagne et décédé au camp de Buchenwald.

A fourni de très utiles renseignements aux forces alliées.

SOURCES

FINIDORI Vincent

ETAT-CIVIL

  • Date de naissance : 02/12/1927
  • Ville de naissance : Paris
  • Département de naissance : Seine

STATUT DANS L’EDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative : élève
  • Etablissement : Lycée Bouffon
  • Ville : Paris 15ème

DISTINCTION

  • Médaille : Médaille de la résistance
  • Grade : avec rosette
  • Vivant/décédé : Décédé (à titre posthume)
  • SI décoré, date du décret : 29/11/1946

FAITS DE RESISTANCE

  • Alias : NR
  • Famille dans la résistance : déportés et internés de la résistance (DIR)
  • Mouvement/Réseau : NR
  • Statut : interné résisatnt

Texte de la citation :

Entré dans la Résistance pour assurer la Libération du pays ; a fait volontairement le sacrifice de sa vie. Mort pour la France.

Rapport justificatif :

Entré dans la Résistance pour assurer la Libération du pays, a fait volontairement le sacrifice de sa vie. Mort pour la France. FFI fusillé a Paris en août 1944.

Source :