PITOIS Raymond

ÉTAT-CIVIL

  • Date de naissance : 4 Septembre 1912
  • Ville de naissance : Saint-Ouen
  • Département de naissance : Seine

STATUT DANS L’ÉDUCATION NATIONALE

  • Situation administrative : Instituteur
  • Etablissement : NR
  • Ville : Saint-Ouen

DISTINCTION 

  • Proposé pour : Médaille de la Résistance
  • Grade : Simple
  • Vivant/décédé : Vivant
  • SI décoré, date du décret : 31/03/1947

FAITS DE RÉSISTANCE

  • Alias : NR
  • Famille dans la Résistance : NR
  • Mouvement/réseau : ARMEE SECRETE (AS)
  • Statut : NR

Texte de la citation :

Résistant modeste, mais courageux et dévoué. A rendu les plus grands services dans son secteur par son activité méthodique et continue. A grandement contribué à la constitution des groupes de Résistance dans la région de Saint-Ouen.

Rapport justificatif :

Est constamment resté en relation avec les officiers du 182e RALT, dont il faisait partie. (officiers groupés sous l’égide du Général Lenôtre, ex-colonel du 182e RALT). A été mis en relations directes avec un groupe de l’Armée secrète (AS) (commandant Rivière) en même groupe que M. Gaillot en avril 1944.

Le 21 août 1944, au matin, n’ayant pas reçu d’ordre spécial de l’Armée secrète (AS), s’est mis, demande du CLL de Saint-Ouen, à la disposition de l’organisation militaire existant dans cette ville (capitaine Augustin, commandant Pabau) Mobilisé sous les ordres du général Koenig avec le n° matricule FFI : 200.035.

A participé au maintien de l’ordre et à la mise en état de défense de Saint-Ouen pendant la période insurrectionnelle. Etant donné les circonstances particulières à Saint-Ouen n’a pas été amené à combattre.

A constitué et organisé la 4e compagnie de Forces françaises de l’intérieur (FFI) de Saint-Ouen avec laquelle il est parti au Fort de l’Est le 9 septembre 1944.

A participé sous les ordres du commandant Bulliard à la formation d’un bataillon qui par la suite deviendra le bataillon Rauger (10-22) commandant Lirot. Etant donné la situation, (les groupes ne quitteront le Fort de l’est qu’au début de 1945) une mobilisation des officier d’artillerie n’ayant pas lieu, a estimé son rôle terminé le 27 septembre et s’est mis à la disposition de son inspecteur le 28 septembre.

SOURCES